Des troncs s’élèvent comme des pensées figées,
dans un silence feutré de glace et de lumière.
Chaque ligne est un souffle,
chaque écorce, une émotion figée.
Ce n’est pas une forêt à traverser,
mais un paysage à ressentir —
celui de l’âme,
quand elle se tient droite malgré le froid.