La toile, telle une nuit sans fin, s’ouvre sur un paysage céleste où l’acrylique et le sable se mêlent comme des astres dans une danse silencieuse. Des éclats de lumière semblent s’échapper, rappelant la lueur douce et mystérieuse de la lune, qui effleure doucement la surface du sable. Chaque grain, posé comme une étoile fugitive, capte une ombre douce, une lueur lointaine, comme si l’horizon s’effritait sous l’œil lunaire. Les formes se dessinent et s’effacent, créant un espace où la nuit se suspend entre rêves et réalité, où le sable devient le miroir de la lune, secret et infini.