Des touches de bleu, de beige et d’ocre s’entrelacent, s’élargissent et se fondent comme des vagues effleurant le sable, oscillant entre calme et mouvement. Chaque éclat de couleur semble jouer une note dans une symphonie silencieuse, évoquant une liberté fluide, comme une brise légère portant avec elle des souvenirs indéfinis. Les formes irrégulières, presque organiques, rappellent un monde en gestation, en constante évolution, comme si l’œuvre capturait l’instant précis où l’univers s’apprête à se révéler sous une nouvelle forme. Il y a une fluidité qui invite à la contemplation, une invitation à rêver, à se perdre dans l’abstraction.